Bankin’ peut être considéré comme l’une des success stories de la promo. Cette application qui sert à gérer ses comptes fait partie des trois start-up qui ont levé des fonds (8 millions d’euros), puis recruté quarante personnes. Un signe ne trompe pas : quand on contacte son cofondateur, Joan Burkovic, 32 ans, c’est un expert « relations médias & e-influence » qui répond pour organiser l’interview. Comme la majorité des start-uppeurs de la première promo du Camping, Joan Burkovic sortait d’une grande école, l’Essec. Ça ne l’a pas empêché de devoir attendre deux ans, et un premier investissement de « business angels », avant de pouvoir se payer. Sept ans plus tard, il s’estime encore « au début » du chemin. « La fintech, c’est très réglementé, avec beaucoup de barrières », insiste Joan Burkovic. Sa boîte fait du chiffre d’affaires, assure-t-il. Si elle n’est pas encore à l’équilibre et ne peut pas encore se passer des investisseurs, c’est qu’elle investit à marche forcée pour espérer « devenir leader européen ».
plutôt qu’utiliser Bankin ou Linxo, j’ai adhéré à l’application moneydoc. J’en suis d’ailleurs très satisfait. Le service client est très réactif, le contenu est clair. Largement suffisant pour consulter l’état de ses comptes.